Créer un site internet

Blog

Dans Presse

Prise en charge de la douleur par le Shiatsu

Par Le 17/02/2023

https://www.spondy.fr/wp-content/uploads/2020/07/shiatsu-site.jpg

La douleur, l’insomnie et le stress sont les raisons les plus fréquentes des consultations Shiatsu

Chaque personne a eu une expérience de la douleur qu’elle soit ponctuelle ou permanente.
Aigue ou chronique, la douleur influe sur la vie et limite les activités quotidiennes.

De manière chronique la douleur a de grave répercussion sur la qualité de vie des patients sur les plans psychologique, social et physiologique (ralentissement des activités quotidiennes voire immobilisation, souffrance physique et morale, fatigue générale, sentiments de frustration, tristesse, colère ou crainte).

Pourtant, la douleur est en réalité pour la nature un moyen de protéger le corps de possibles lésions tissulaires, elle est le « signal d’alarme » d’un dysfonctionnement au sein de l’organisme.

 

Comment le shiatsu peut soulager la douleur ?

Le Shiatsu pour restaurer la libre circulation de l’énergie dans le corps

Technique énergétique fondée sur la médecine chinoise

Le Shiatsu1 est une méthode manuelle qui consiste en un enchaînement de pressions rythmées le long des méridiens d’énergie, ceux-ci reliant entre eux tous les organes et toutes les fonctions du corps.

Les pressions exercées principalement par les pouces, poings, coudes s’accompagnent aussi de mobilisations articulaires, des étirements ou des percussions pour débloquer l’énergie qui stagne.

 

La douleur en Médecine Traditionnelle Chinoise

Pour la Médecine Traditionnelle Chinoise (MTC), le corps maintient un équilibre entre Yin et Yang, Qi (énergie) et Sang.

Qi et Sang circulent dans le corps selon des trajets bien définis appelés méridiens.

Quand le Qi ou le Sang font défaut (Vide) ou qu’ils s’amassent quelque part (Plénitude), il se forme un déséquilibre entre le Yin et le Yang, les viscères internes n’ont plus leur fonctionnement optimum et la maladie et la douleur se développent.

S’ajoute à ce déséquilibre, l’aspect très important du rôle mental et émotionnel. Un déséquilibre des émotions a un rôle fondamental dans le développement des pathologies douloureuses : l’émotion créée la tension.

 

Le shiatsu équilibre et renforce la santé

Le rééquilibrage de la circulation énergétique du corps s’effectue par l’intermédiaire du système nerveux central et autonome.
Les bénéfices sont autant physiques que psychiques.

Grace aux pressions exercées, le praticien corrigera la dysharmonie. La douleur créée par la pression sera le reflet du déséquilibre interne.

La tonification et/ou la dispersion de la pression sur l’ensemble du corps permettra l’ouverture de l’énergie et agira comme un pansement transmis par le Qi.

Le shiatsu permet alors d’avoir une large action(2) :

Une meilleure circulation sanguine et lymphatique

Une facilitation de la sécrétion d’hormones

Une détente des muscles et des tendons

Une augmentation de la souplesse du corps, meilleure mobilité des articulations

Une facilitation de la digestion et de l’excrétion

Une extériorisation des émotions intériorisées

Un bien-être mental

Une élimination de la fatigue, du stress, des tensions.

Par toutes ces actions le shiatsu permet de rétablir l’équilibre homéostatique afin de combattre la maladie, de se maintenir en bonne santé et d’améliorer les défenses naturelles de l’organisme.

 

Le pouvoir du toucher pour soulager

Le Shiatsu est avant tout une thérapie manuelle : « Toucher est probablement la plus ancienne manière de soigner » (T. Janssen).  Le toucher agit directement sur le cerveau émotionnel.

En plus des actions citées ci-dessus, le massage shiatsu apporte et potentialise des bénéfices grâce à sa spécificité :

une profonde relaxation qui engendre des idées positives avec un profond relâchement musculaire, un rythme cardiaque apaisé, une respiration ample, libre et naturelle

stimule l’activité fonctionnelle des organes, favorise l’élimination des toxines

entraine la diminution du stress et une baisse du cortisol sanguin par son activité sur le système nerveux parasympathique et renforce l’immunité

développe le système parasympathique : adaptation au monde extérieur, repos, éclaircit le mental et prendre de la distance face à des situations de stress

une augmentation de la sérotonine qui inhibe la transmission de la douleur au niveau cérébral

une production cérébrale d’endorphines qui inhibe la perception douloureuse et provoque une sensation de bien-être.

 

La relation à l’humain dans sa globalité

Le shiatsu c’est aussi la relation à l’autre, l’écoute, l’empathie ; le contact en pleine conscience qui s’établit avec le patient. Cette dimension humaine est particulièrement importante pour les cas de douleur. Le patient prend conscience de son propre rôle dans la démarche de guérison.

On peut s’intéresser alors à l’effet placebo qui semble mobiliser les forces psychiques des patients et déclencher le potentiel de guérison qui réside dans chaque individu.

Comme le suggère Thierry Janssen, au lieu d’éliminer l’impact de l’effet placebo on pourrait le considérer comme un outil thérapeutique majeur, l’utiliser en pleine conscience, le renforcer voir le favoriser. (3)

A la croisée des grands courants thérapeutiques, le shiatsu considère la totalité de la douleur : du corps, de l’âme et de l’esprit.
La médecine chinoise est globale et s’intéresse au terrain énergétique du patient. La médecine occidentale est anatomique, structurelle et technologique.

Une belle combinaison pour soulager, guérir et prévenir la douleur.

 

1. Le Shiatsu reconnu en 1955 par le Ministère nippon de la Santé comme une médecine à part entière. Il est également reconnu en Europe (Autriche et Suisse) en 1997 par l’OMS dans la catégorie des médecines traditionnelles comme « médecine non conventionnelle digne d’intérêt ». L’amendement du 17 juin 1998 adopté par le Parlement Européen reconnaît l’efficacité des thérapies non conventionnelles en tenant compte de leur rôle préventif et des possibilités d’une approche individuelle et holistique de la santé.
Le shiatsu en fait partie.

2. Manuel complet de Médecine chinoise et de Shiatsu, ma vision alliant orient et occident, Maud Ernoult, Editions Le souffle d’or, 2013

3. La solution intérieure .Thierry Janssen Edition Fayard, 2006
Texte inspiré par Traitement de la douleur par le shiatsu de Sarah Lamora Terrier

https://www.spondy.fr/articles-medicaux/prise-en-charge-de-la-douleur-par-le-shiatsu/

Dans Presse

Shiatsu : quand la pression soulage

Par Le 17/02/2023

Shiatsu quand la pression soulage imagepanoramique647 286

Une thérapie corps-esprit

«Je suis venue au shiatsu à cause de mes insomnies, témoigne Julie. En une séance, le problème était résolu.» Agathe, elle, est allée consulter pour des troubles digestifs. «J’étais tellement tendue que j’avais des “nœuds” dans le ventre et des raideurs dans le cou. La séance m’a beaucoup relaxée. J’ai eu le sentiment de laisser un bon paquet de soucis sur le futon, je me suis sentie plus légère, et mes douleurs se sont estompées dès le lendemain.»

La magie du shiatsu réside dans cette capacité à soigner rapidement les maux du corps comme ceux de l’âme. Nombreux sont ceux qui viennent pour être soulagés d’une douleur physique, et repartent apaisés d’une souffrance morale. Le shiatsu n’est pas pour autant une thérapie miracle. Maladies chroniques, dépressions ou problèmes de dépendance ne se soignent pas en une séance. «Mais le shiatsu peut être d’une aide sérieuse», assure Isabelle Laading, praticienne et enseignante en Saône-et-Loire, auteur de “Shiatsu, voie d’équilibre” (Désiris, 1999). Le centre de désintoxication pour alcooliques où elle exerce a d’ailleurs obtenu le meilleur taux de réussite du département. Dans le cas de maladies graves – cancer, sida, maladie d’Alzheimer, etc. – le shiatsu ne guérit pas, mais peut soulager. Ainsi, plusieurs praticiens attestent qu’il permet d’atténuer les effets secondaires d’une chimiothérapie ou d’une trithérapie.

Il existe cependant des contre-indications. Un shiatsu ne devra pas être effectué sur des lésions ouvertes, des inflammations, des ulcères, ou dans le cas de malformations graves. Claude Didier le déconseille aux grands asthmatiques et aux cardiaques. En cas de fragilité osseuse, surtout chez les enfants et les personnes âgées, la manipulation sera plus douce et, sur une femme enceinte, certains points abortifs ne seront pas travaillés.

 

Equilibrer le ki

Conserver ou restaurer cette énergie vitale qui nous anime – appelée ki au Japon, équivalent du qi en Chine – telle est la vocation du shiatsu. «Dans des conditions de bonne santé, l’énergie s’écoule librement et de façon équilibrée à travers les méridiens. Quand un fonctionnement inhabituel des organes internes ou une stimulation externe anormale se produit, l’énergie stagne, ce qui entraîne la maladie. Aussi, afin de guérir, l’énergie doit-elle être libérée et régularisée», explique maître Masunaga dans Zen Shiatsu, livre de référence pour la plupart des praticiens français.

Suivant les principes de la médecine chinoise, le shiatsu stimule les points d’acupuncture qui manifestent un manque d’énergie et libère ceux qui ont accumulé un trop-plein. Il met véritablement le doigt là où ça fait mal. En s’attaquant aux causes et non aux symptômes, les effets bénéfiques peuvent parfois se faire attendre. Il arrive que l’on sorte de séance avec les mêmes maux, voire que l’on souffre, pendant deux ou trois jours, de nouveaux désagréments, comme des céphalées ou des insomnies. Inutile de s’inquiéter, c’est le signe que le corps se libère. Une image pour mieux comprendre : le corps est comme un lac ; lorsqu’un travail en profondeur y est effectué, cela peut faire des vagues.

 

Une “psychiatrie manuelle”

Le shiatsu peut également bousculer sur le plan psychique. En débloquant l’énergie, le praticien travaille en effet sur les "mémoires" du corps, ce qui explique que, suite à une pression, certains pleurent, d’autres rient ou évoquent de vieux souvenirs. En libérant le ki, le patient se libère de son passé, et souvent de traumatismes enfouis. «Le shiatsu vous fait cheminer, dit joliment Isabelle Laading. Il permet une véritable ouverture intérieure.» Claude Didier va jusqu’à affirmer que «le shiatsu est une forme de psychiatrie manuelle».

Efficace en cas de chagrin ou de déprime, il permet aussi d’être littéralement "mieux dans sa peau", de développer une pleine conscience de son schéma corporel. Massé de la tête aux pieds, de face comme de dos, le patient peut sentir chaque parcelle de son anatomie et percevoir son corps dans son ensemble. D’où ces commentaires entendus sur le futon : «Grâce au shiatsu, je me découvre ou je me retrouve.»

 

L’art du toucher

Dans ce travail d’autoguérison, le toucher relève de l’art. Le praticien doit, en effet, disposer d’une sensibilité tactile très fine pour sentir au bout de ses doigts les points d’acupuncture et leur état énergétique, mais aussi pour doser savamment sa pression et éviter toute souffrance à son patient, la stimulation d’un point trop chargé pouvant être extrêmement douloureuse. Personne ne peut donc s’improviser, après une formation d’un week-end, spécialiste en shiatsu. Deux à trois ans sont nécessaires pour être formé par la FFST en cours du soir, et la formation intensive d’Isabelle Laading compte près de deux cents heures.

Plusieurs niveaux d’enseignement se succèdent, permettant aux simples amateurs un apprentissage du shiatsu de détente, sans visée thérapeutique. C’est ce type de shiatsu que proposent les centres de remise en forme et les instituts de beauté, et les sociétés qui se déplacent en entreprise ou dans le métro pour dispenser des séances d’un quart d’heure : assis sur une chaise ergonomique, le salarié ou l’usager reçoit un massage sur le haut du corps, lieu où se concentre l’essentiel des tensions dues à la vie de bureau.

Certains ateliers incluent également la technique du «do-in», qui s’apparente à un auto-shiatsu. «Le do-in est une merveilleuse façon de se faire du bien, à soi-même et par soi-même», déclare

Anne-Béatrice Leygues, ostéopathe et auteur de Do-in, la voie de l’énergie (Le Rocher, 1995). «C’est bien, mais rien ne vaut d’être touché par quelqu’un d’autre, rappelle Claude Didier. La force du shiatsu se situe justement dans ce contact quasiment peau à peau.» Danielle Chevillon, praticienne et enseignante de renom, élève de Masunaga, confirme : «La relation née entre le thérapeute et le patient est primordiale, c’est à l’intérieur de cette rencontre que le travail va s’effectuer.»

 

Se sentir en confiance

Comment choisir son praticien ? Déterminez d’abord si vous préférez un homme ou une femme, une personne jeune ou plus mûre.

Ensuite, allez-y au «feeling», en respectant votre ressenti. Il est légitime de ne pas vouloir se faire toucher par quelqu’un qui ne vous met pas à l’aise, car pour pouvoir vous détendre et lâcher vos blocages, vous devez impérativement vous sentir en confiance.

Le shiatsu étant très codifié, vous pouvez aussi juger du respect de sa philosophie en vérifiant les points suivants :

A moins d’être emmitouflé dans trois pulls, vous devez rester vêtu.

Le shiatsu se pratique sur un futon posé à même le sol.

Toute séance se passe dans le silence. Les temps d’échanges verbaux sont réservés au début, pour établir un diagnostic énergétique, et à la fin, pour faire le point.

Un shiatsu doit toujours être complet, et débuter par le ventre ou le dos.

Une séance dure généralement une heure, et coûte en moyenne 45 €. Une série de trois séances, à une semaine d’intervalle, est conseillée pour les cas bénins.

Votre praticien doit se montrer respectueux du temps qui vous est nécessaire pour vous libérer de vos blocages, ne pas vous « pousser » dans votre prise de conscience ni imposer ses réponses.

Il doit faire preuve de compassion.

Il doit reconnaître les limites du shiatsu et savoir préconiser, si besoin est, le recours à la médecine classique ou à d’autres thérapies.

Il doit vous amener à réfléchir sur votre mode de vie – diététique, activité sportive, comportement face au stress, etc. – afin de vous aider à supprimer les causes de vos maux actuels.

Encore un peu de japonais. «Comment allez-vous ?» se dit «Genki de su ka ?», littéralement : «Etes-vous en accord avec votre souffle originel ?» Après quelques séances de shiatsu, peut-être pourrez-vous répondre oui.

 

De quel mal souffrez-vous ?

Le shiatsu traite autant les douleurs physiques que les états d’âme. Il est particulièrement efficace dans les cas de :

Douleurs physiques : mal au dos, problèmes digestifs et intestinaux, douleurs articulaires, migraines, mal de ventre dû aux règles, rhumes.

Etats d’âme : stress, nervosité, anxiété, troubles du sommeil, dépendances (tabagisme, boulimie, alcoolisme, etc.), fatigue (surmenage intellectuel, manque d’entrain, etc.), difficultés relationnelles, dépression nerveuse.

 

Shiatsu-acupuncture

Les neuf différences avec l'acupuncture :

1) Le shiatsu est une discipline japonaise qui date des années 50. L’acupuncture, l’un des pans de la médecine traditionnelle chinoise remontant au IIe millénaire avant Jésus-Christ
2) Le shiatsu se pratique avec les pouces ; l’acupuncture, avec des aiguilles.

3) Le shiatsu travaille sur l’ensemble des méridiens ; l’acupuncture traite des points particuliers.
4) Seul le shiatsu inclut des étirements, donc un travail sur les articulations et les muscles.
5) En shiatsu, il y a fusion du diagnostic et du traitement : chaque pression détermine l’état énergétique et le traite en même temps.

6) L’intuition et le ressenti jouent une part plus importante en shiatsu.
7) Par l’action du toucher, le praticien de shiatsu « partage » les souffrances de son patient ; l’acupuncture est plus « médicale ».

8) Le shiatsu peut se pratiquer sur soi ou en famille, dans un but de détente, sans visée thérapeutique.
9) L’acupuncture est généralement pratiquée par un médecin, ce qui n’est pas le cas du shiatsu.

https://www.psychologies.com/Bien-etre/Relaxation/Massage/Articles-et-Dossiers/Shiatsu-quand-la-pression-soulage  Mis à jour le 07 février 2022 à 17:13

L’Art du Geste dans le Shiatsu

Par Le 17/02/2023

Propos par Bernard Bouheret (UFPST)

« Rien n’est séparé de rien et ce que tu ne comprendras pas dans ton corps tu ne le comprendras nulle part ailleurs » UPANISHAD

"J'ai initié, dans notre école, depuis de nombreuses années, une transmission que j'ai nommée « Art du geste » et qui, au fil du temps, aborde différents sujets. J'aimerais ici en dire deux mots.

J'ai maintes fois remarqué, lorsque je donne des stages, que la technicité du geste, l'ergonomie de la main, les postures, la distance, la respiration, la profondeur, l'intensité, tous ces thèmes qui sont tour à tour abordés dans ces journées dites « Art du geste » ne sont pas suffisamment approfondis au cours des enseignements respectifs. Et nous devons y veiller. Comme nous avons coutume de le dire, les praticien-es, ne se sont pas forgé un corps de Shiatsushi.

Yuji Namikoshi, le petit-fils du grand senseï si connu au Japon et dans le monde entier, a une phrase célèbre qui circule sur les réseaux : « Si tu n'exerces pas tes pressions correctement, tu resteras un débutant toute ta vie. » Et je partage totalement son avis.

Nous avons donc pensé qu'il était important de remettre l'accent sur les fondamentaux, sur le geste juste, juste le geste…

Il y a quelques années, j'ai invité en stage un professionnel de la batterie et de la percussion qui ne s'est pas gêné de dire au groupe de shiatsu qui l’écoutait, que très régulièrement il retournait à son instrument rejouer les fondamentaux, les rythmes de base, pendant plusieurs heures, voire une journée entière pour reprendre à zéro, repartir avec l'esprit du débutant, ne pas penser qu'il savait déjà, malgré ses 40 ans de pratique. Je me suis régalé à l’écouter tellement je me suis retrouvé dans ces propos. C'est un peu cet état d'esprit que je veux retransmettre et retranscrire dans ces fameuses journées "Art du geste". Le plaisir de reprendre les bases, de répéter les gestes, d’observer sa posture, de constamment chercher la détente qui n’est jamais acquise. Garder l'esprit du débutant, c'est justement le meilleur moyen pour ne pas rester un débutant !"

L'article complet

Dans Salons

Dimanche 19 septembre à Mirecourt (88)

Par Le 13/08/2022

1297000882 4

Dans le cadre de la "Journée japonaise du Dojo mirecurtien, "L’association Dojo mirecurtien a organisé le dimanche 19 septembre à l’espace Robert-Flambeau, la quatrième édition de la Journée japonaise qui a accueilli une trentaine d’exposants pour faire découvrir aux visiteurs un certain nombre de facettes nippones.

Shiatsu.Do Lorraine était présente et représentée par Vincenzo qui fait partie de l'équipe pédagogique, et accompagné par des stagiaires qui ont ainsi pu pratiquer le shiatsu sur futon et sur chaise.

×